La donna è mobile
Aria du Duc de Mantoue dans l'opéra Rigoletto / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
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Comme la plume au vent
La donna è mobile[1] (prononcé : [la ˈdɔnna ɛ ˈmɔːbile]) est l'aria que le personnage du Duc de Mantoue (ténor) entonne dans le troisième et dernier acte de l'opéra Rigoletto de Giuseppe Verdi, créé en 1851. Son texte développe quelques vers de Victor Hugo dans Le roi s'amuse[2] qui lui-même les aurait empruntés au roi François Ier[3].
C'est l'un des airs d'opéra les plus populaires en raison de sa facilité de mémorisation et de son accompagnement dansant. On raconte que Verdi en interdit la diffusion jusqu'à la première au théâtre de La Fenice de Venise, pour préserver l'effet de surprise[4].
L'opéra comme l'air individualisé ont été interprétés par de nombreux ténors célèbres : Enrico Caruso, Plácido Domingo, Luciano Pavarotti, José Carreras, Roberto Alagna, Jonas Kaufmann, Vittorio Grigolo, Pene Pati etc. L'air a été chanté pour la première fois par Raffaele Mirate lors de la création de l’opéra le à La Fenice.