Ach Gott, wie manches Herzeleid (BWV 3)
cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig à la fin de l'année 1724 pour le 2e dimanche après l'Épiphanie / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Ach Gott, wie manches Herzeleid (BWV 3)?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Ach Gott, wie manches Herzeleid (Ah ! Dieu, combien de tourments), BWV 3, est une cantate religieuse de Johann Sebastian Bach composée à Leipzig à la fin de l'année 1724 pour le 2e dimanche après l'Épiphanie qui tombait cette année le . Pour cette destination liturgique, deux autres cantates ont franchi le seuil de la postérité : les BWV 13 et 155. Elle appartient au deuxième cycle de Leipzig (1724-1725), celui des cantates de choral. La BWV 58 utilise le même choral (et possède donc le même titre) mais est destinée au dimanche après le Nouvel An.
Cantate BWV 3 Ach Gott, wie manches Herzeleid | |
Titre français | Ah ! Dieu, combien de tourments |
---|---|
Liturgie | Deuxième dimanche après l'Épiphanie |
Date de composition | 1724 |
Auteur(s) du texte | |
1, 2, 6 : Martin Moller | |
Texte original | |
Traduction de J-P. Grivois, note à note Traduction française interlinéaire | |
Effectif instrumental | |
Soli : S A T B chœur SATB Cor, trombone, hautbois d'amour I/II, violon I/II, alto, basse continue |
|
Partition complète [PDF] Partition Piano/Voix [PDF] | |
modifier |
Les lectures prescrites pour ce jour étaient Rom. 12: 6-16 et Jean 2: 1-11[1].
Il s'agit d'une cantate chorale basée sur le choral homonyme de (1587), attribué à Martin Moller[2] qui s'est inspiré de l'hymne Jesu dulcis memoria attribué à Bernard de Clairvaux. Le texte du choral reste inchangé dans les premier, deuxième et sixième mouvements mais est modifié par un auteur inconnu dans les autres mouvements.
Le thème du choral (Zahn 533a) reprend la ligne mélodique de Herr Jesu Christ, meins Lebens Licht II, qui parut pour la première fois dans les « Liederbuch » de Wolflin Lochamer imprimés à Nuremberg en 1455.