Hindouisme en Indonésie
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Sous le régime de Soeharto, l'hindouisme faisait partie des cinq religions officiellement reconnues ; une desquelles les Indonésiens devaient avoir mentionnée sur leur carte d'identité.
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Les chiffres officiels de 1998 indiquent que 80 % des Indonésiens sont musulmans, 5 % protestants, 3 % catholiques, 2 % hindouistes, 1 % bouddhistes, le 9 % étant constitué d'autres religions, ce qui inclut le judaïsme et le christianisme orthodoxe[1].
L'Indonésie est née du désir de populations culturellement et religieusement diverses de construire une seule nation. Sa Constitution ne fait référence à aucune religion particulière. Elle revendique son passé hindou-bouddhique. Une illustration en sont les armoiries de la République, Garuda, l'oiseau de la mythologie hindoue qui sert de vahana (véhicule) à Vishnu pour descendre sur terre, et le nom de la compagnie aérienne nationale, Garuda Indonesia.
Ce passé a pour témoins les nombreux temples bouddhiques et hindouistes construits entre les VIIIe et XVe siècles, dont la plupart sont à Java.
Pour être en accord avec la Pancasila, l'hindouisme en Indonésie est monothéiste. Acintya est le Dieu suprême de l'hindouisme indonésien, et les autres divinités sont considéré comme étant des incarnations de ce dernier