Élections législatives néo-zélandaises de 2002
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Les élections législatives néo-zélandaises de 2002 se sont tenues le pour renouveler les 120 membres de la Chambre des représentants de Nouvelle-Zélande.
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Élections législatives néo-zélandaises de 2002 | ||||||||||||||
120 sièges de la Chambre des représentants (Majorité absolue : 61 sièges) | ||||||||||||||
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Corps électoral et résultats | ||||||||||||||
Inscrits | 2 670 030 | |||||||||||||
Votants | 2 055 404 | |||||||||||||
76,98 % 7,8 | ||||||||||||||
Blancs et nuls | 23 787 | |||||||||||||
Parti travailliste – Helen Clark | ||||||||||||||
Voix | 838 219 | |||||||||||||
41,26 % |
2,5 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 52 | 3 | ||||||||||||
Parti national – Bill English | ||||||||||||||
Voix | 425 310 | |||||||||||||
20,93 % |
9,6 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 27 | 12 | ||||||||||||
Nouvelle-Zélande d'abord – Winston Peters | ||||||||||||||
Voix | 210 912 | |||||||||||||
10,38 % |
6,1 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 13 | 8 | ||||||||||||
ACT – Richard Prebble (en) | ||||||||||||||
Voix | 145 078 | |||||||||||||
7,14 % |
0,1 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 9 | |||||||||||||
Parti vert – Rod Donald (en) / Jeanette Fitzsimons | ||||||||||||||
Voix | 142 250 | |||||||||||||
7,00 % |
1,8 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 9 | 2 | ||||||||||||
United Future – Peter Dunne (en) | ||||||||||||||
Voix | 135 918 | |||||||||||||
6,69 % |
5 | |||||||||||||
Sièges obtenus | 8 | 7 | ||||||||||||
Carte des résultats | ||||||||||||||
Premier ministre | ||||||||||||||
Sortante | Élue | |||||||||||||
Helen Clark Parti travailliste |
Helen Clark Parti travailliste | |||||||||||||
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Le Parti travailliste de la Première ministre sortant Helen Clark arrive en tête des élections avec 41 % des suffrages. De son côté, le Parti national réalise le pire score de son histoire en rassemblant moins de 21 % des voix. Cette débâcle des conservateurs profite à Nouvelle-Zélande d'abord ainsi qu'à United Future, porté par la performance de son chef Peter Dunne (en) lors du débat télévisé[1].
Après les élections, Helen Clark prend la direction d'un gouvernement travailliste-progressiste, soutenu par United Future[2].